La distillerie est au beau milieu de la petite ville de Sainte-Marie, et en cette saison, les tracteurs chargés de canne se succèdent à la pesée. C'est la première étape du cycle de préparation du rhum. Chaque exploitant, qu'il soit gros ou petit, vient faire peser son chargement à l'entrée de la distillerie.
Il faut imaginer l'effervescence qui peut exister de février à juin, période de récolte et de fabrication du rhum. On croise de très nombreux tracteurs ainsi chargés le long des routes, et parfois, de fortes odeurs de rhum résultant de la fermentation plus ou moins sauvage des déchets de canne à sucre à proximité des champs.
En comparaison avec le rhum, la production sucrière se résume à une seule sucrerie appelée "Le Galion" et située non loin de Sainte-Marie, où nous sommes actuellement. Il faut d'ailleurs ajouter que ledit "Galion" s'est récemment mis à produire du rhum, c'est dire!
visite pas, par contre une galerie répartie sur les deux étages de la maison de maître retrace l'épopée de cette marque renommée.
La visite est totalement libre, avec (et ce ne sera pas la dernière!) une dégustation tout aussi gratuite de leurs produits. Nous avons apprécié la liberté de visiter et de prendre des photos. Eux ont compris que toute photo prise est une pub à peu de frais!
Ici, c'est l'étage de la maison.

Nous avons pris un déjeuner léger à l'ombre de l'avancée
style colonial de cette maison qui, avouons-le, nous a vraiment plu.
Depuis la distillerie, un petit train emmène les badauds à travers les champs de canne.
Le circuit de ce tortillard emmène jusqu'au niveau du musée de la banane, situé quelques kilomètres à l'intérieur des terres, mais le train ne s'y arrête pas. Dommage, grouper les deux visites aurait été judicieux et nous y serions peut-être allés. Mais non! Nous avons repris notre "Ferrari" et, comme des grands, avons fait la route pour le musée de la banane.

Nous avons pris un déjeuner léger à l'ombre de l'avancée
style colonial de cette maison qui, avouons-le, nous a vraiment plu.
Depuis la distillerie, un petit train emmène les badauds à travers les champs de canne.
Le circuit de ce tortillard emmène jusqu'au niveau du musée de la banane, situé quelques kilomètres à l'intérieur des terres, mais le train ne s'y arrête pas. Dommage, grouper les deux visites aurait été judicieux et nous y serions peut-être allés. Mais non! Nous avons repris notre "Ferrari" et, comme des grands, avons fait la route pour le musée de la banane.
La visite se décompose en deux étapes: d'abord une grande bâtisse ancienne où les photos sont interdites (!!!), mais où l'on peut déguster des bananes... super !!! Un DvD y explique les différentes étapes de
culture, de récolte et de conditionnement des fruits. Ensuite, un circuit botanique nous fait découvrir plein de bananiers différents. J'y ai pris plus de photos de fleurs que de bananes! Il y en avait pourtant de nombreuses variétés, mais pas de quoi se relever la nuit.
Et enfin, une boutique nous proposait des produits dérivés, style gateau banane, liqueur, sorbet etc... Mais, pour 7,50€ par personne, ils auraient pu se fendre un peu plus. Le gateau était bon, mais le prix d'entrée m'est resté en travers!
Bon, allez, c'est les vacances, on va pas se prendre la tête pour 100 balles!
Direction, la plage, car par cette journée caniculaire, on commence à rêver de plonger dans tout ce qui ressemble à de l'eau. Un bon souvenir d'il y a sept ans m'oriente donc vers la péninsule de la Caravelle, où la plage de Tartane m'avait jadis bien plu
. Une mini déception en y trouvant du sable gris et plus aucun repère style resto ou baraque à crèpes sur la plage. Dommage!
Mais qu'à cela ne tienne, on s'est baignés quand même, et sur la route du retour, on a pris cette photo qui vaut ce qu'elle vaut!
Et enfin, une boutique nous proposait des produits dérivés, style gateau banane, liqueur, sorbet etc... Mais, pour 7,50€ par personne, ils auraient pu se fendre un peu plus. Le gateau était bon, mais le prix d'entrée m'est resté en travers!
Bon, allez, c'est les vacances, on va pas se prendre la tête pour 100 balles!
Direction, la plage, car par cette journée caniculaire, on commence à rêver de plonger dans tout ce qui ressemble à de l'eau. Un bon souvenir d'il y a sept ans m'oriente donc vers la péninsule de la Caravelle, où la plage de Tartane m'avait jadis bien plu
Mais qu'à cela ne tienne, on s'est baignés quand même, et sur la route du retour, on a pris cette photo qui vaut ce qu'elle vaut!
Vivement demain !
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